Les TMS sont-ils bien répertoriés en France ?
Faire des mouvements à répétition, adopter des postures inconfortables, disposer de temps de récupération insuffisants, travailler dans le froid ou exposés à des vibrations… voici plusieurs facteurs augmentant le risque de souffrir de troubles musculo-squelettiques (TMS).
Ces douleurs locomotrices atteignent les tendons et gaines tendineuses, les muscles, les nerfs, les ligaments, les capsules articulaires, les bourses séreuses et les vaisseaux.
Selon les auteurs du BEH, la sous-déclaration des TMS diminue : elle est passée de 55% à 43% entre 2019 et 2015* concernant le rachis lombaire, de 70% à 60% pour le coude, de 65% à 59% à concernant l’épaule.
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